Michèle Rivasi

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Michèle Rivasi
Michèle Rivasi en 2009.
Michèle Rivasi en 2009.
Fonctions
Députée européenne
En fonction depuis le
(7 ans 7 mois et 11 jours)
Élection 7 juin 2009
Réélection 25 mai 2014
Législature 7e et 8e
Groupe politique Verts/ALE
Conseillère municipale de Valence
En fonction depuis le
(8 ans 11 mois et 4 jours)
Élection
Réélection
Maire Alain Maurice
Nicolas Daragon
Conseillère générale de la Drôme
Élue dans le canton de Valence-1

(1 an 3 mois et 23 jours)
Élection
Prédécesseur Jacques Bonnemayre
Successeur Patrick Royannez
Députée de la 1re circonscription de la Drôme

(4 ans 11 mois et 28 jours)
Élection
Législature XIe
Groupe politique Socialiste
Prédécesseur Patrick Labaune (RPR)
Successeur Patrick Labaune (UMP)
Biographie
Date de naissance (64 ans)
Lieu de naissance Montélimar (Drôme)
Nationalité Française
Parti politique App. PS
PS (2002-2003)
Les Verts (2005-2009)
EELV (depuis 2009)
Diplômée de ENS de Fontenay-Saint-Cloud
Profession Professeur de SVT

Michèle Rivasi, née le à Montélimar (Drôme), est une femme politique française, députée européenne depuis 2009, membre d'Europe Écologie Les Verts (EELV). Elle a été députée apparentée socialiste de la Drôme de 1997 à 2002, puis vice-présidente du conseil général de la Drôme et adjointe au maire de Valence en 2008[Notes 1].

Candidate à la primaire écologiste de 2016 dans la perspective de l'élection présidentielle de 2017, elle est battue au second tour par Yannick Jadot.

Co-fondatrice et première présidente de l'ONG Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD) en 1986, après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, Michèle Rivasi cofonde, avec Corinne Lepage, l'Observatoire de vigilance et d'alerte écologique (Ovale). Elle est également vice-présidente de l'ONG Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem), et ancienne directrice de Greenpeace France (2003-2004).

Elle est une spécialiste des questions de santé environnementale au Parlement européen[1],[2],[3].

Biographie[modifier | modifier le code]

Carrière professionnelle et associative[modifier | modifier le code]

Ancienne élève de l'École normale supérieure de Fontenay-aux-Roses, Michèle Rivasi est professeure agrégée de sciences naturelles et titulaire d'un DEA en didactique des sciences. En 1977, elle est nommée en lycée, puis au bout de trois ans devient enseignante en Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) (1980-2003).

Michèle Rivasi est nommée directrice de Greenpeace France de à . Bruno Rebelle, numéro 2 de Greenpeace à l'époque, déclare: «En l’espace de quelques mois, elle a mis le feu à la maison, elle n’a pas su gérer une équipe de cinquante personnes et n’a pas su gérer la composante française d’une organisation internationale. C’est parti en vrille.» Michèle Rivasi affirme, quant à elle, que Bruno Rebelle, ainsi que Yannick Jadot, se sont opposés à l'organisation plus démocratique qu'elle proposait. Selon elle, « le monde meilleur qu'on défendait, il fallait aussi qu'il soit à l’intérieur de Greenpeace. Au fond, Jadot et Rebelle, c’est le même genre de mecs, des mecs qui en veulent, qui ont des ego »[4],[5]. En , alors que Michèle Rivasi et Yannick Jadot se retrouvent au deuxième tour de la primaire présidentielle écologiste, Bruno Rebelle déclare que Michèle Rivasi avait été, en 2004, licenciée de Greenpeace, et qu'elle n’avait « pas fait le boulot correctement.»[6],[Notes 2].

À l'issue de cette expérience de treize mois à la tête de Greenpeace France, elle enseigne à nouveau les sciences de la vie et de la Terre au lycée Gustave-Jaume de Pierrelatte (Drôme) de 2004 à 2007, puis elle est nommée de 2007 à 2009 à l'IUFM de Grenoble, en Isère[7].

Prises de position[modifier | modifier le code]

Nucléaire[modifier | modifier le code]

Michèle Rivasi affirme que Tchernobyl aurait été « le premier gros mensonge d'État ». Elle explique qu'au moment des faits, lorsque le nuage radioactif se propageait au-dessus de l'Europe, la protection de la France par un anticyclone lui avait semblé impossible, les pays frontaliers de la France comme l'Italie et l'Allemagne ayant été touchés. Elle crée la Criirad avec d'autres citoyens, également convaincus d'un mensonge après avoir constaté en France la présence d'éléments radioactifs dans certains aliments comme le lait[8].

En 1997, Michèle Rivasi est qualifiée de « bête noir du lobby nucléaire » dans Liberation[9].

En 1998, elle publie avec Hélène Crié-Wiesner, journaliste franco-américaine, le livre Ce nucléaire qu'on nous cache. Elle y décrit des manipulations de chiffres par l'état, des mensonges, des dissimulations concernant le nucléaire. Elle y aborde aussi, notamment, le problème de la gestion des déchets radioactifs et du démantèlement des vieilles centrales nucléaires[10].

En 2000, elle délivre un rapport sur le « caractère désordonné de la gestion des déchets nucléaires »[11], où elle dénonce notamment la solution de stockage de déchets radioactifs dans les remblais[12]. Elle appuie l'association Avigolfe dans son action sur la prise en compte du Syndrome de la guerre du Golfe, mettant en question un lien éventuel entre des maladies atteignant les vétérans de la guerre, et une possible exposition à des radiations ou des intoxications chimiques[13]. Elle établit un rapport analysant la protection des consommateurs vis-à-vis des produits défectueux[14].

Entre et , elle a été présidente de Nuclear Transparency Watch[15], association visant à renforcer la sûreté nucléaire par la promotion de la transparence dans la filière nucléaire.

Lobbies pharmaceutiques[modifier | modifier le code]

En , elle lance aux côtés de nombreux médecins comme Irène Frachon et d'élus écologistes l'appel pour une opération « Mains propres sur la santé »[16] (une initiative soutenue par Anticor, Formindep et le groupe des Verts/Alliance libre européenne au Parlement européen), dénonçant la mainmise des laboratoires pharmaceutiques sur les décisions sanitaires en France. Au travers de différents exemples de corruption ou de conflits d'intérêts entre le monde politique et pharmaceutique, mais aussi en critiquant les va et vient entre le public et le privé, elle cherche à faire prendre conscience que ces connivences ont un coût énorme pour la santé et la sécurité sociale. En effet, des économies drastiques sont possibles si l'on revoit le prix de certains médicaments, bien plus chers en France que dans la majeure partie des pays développés. Selon ses calculs, 10 milliards d'euros d'économie pourraient être réalisés sur les médicaments, sans réduire l'accès aux soins. Elle fut l'invitée de Mediapart pour présenter son opération « Mains Propres sur la santé »[17].

Vaccins[modifier | modifier le code]

En , dans une tribune publiée par Le Monde, elle appelle à la fin du remboursement par la sécurité sociale de certains antidépresseurs[18]. Cette prise de position entraîne des réactions scandalisées de plusieurs médecins et docteurs[19],[20]. À propos de la vaccination, elle déclare ; « Aujourd’hui, les vaccins créent plus de problèmes qu’ils n’en résolvent, il est temps de changer de paradigme sur la prévention. »[21] Critiquée par certains qui visaient à la faire passer pour une militante anti-vaccins, elle a publié sa position à ce sujet sur son blog: « Anti-vaccin, non. Vaccin-critique, oui »[22].

Le , elle organise à Bruxelles une journée de conférence qui inclut notamment la projection du film Vaxxed (en) du controversé Andrew Wakefield, médecin radié pour fraude. Initialement prévue dans une salle du Parlement européen, la conférence — dénoncée par l'AFIS[23] — est finalement organisée dans une salle louée pour l'occasion, probablement à l'initiative du groupe écologiste au Parlement européen[24].

Intoxications médicales[modifier | modifier le code]

Au Parlement européen, Michèle Rivasi est rapporteure pour le groupe des Verts/ALE sur le dossier du mercure[25]. Elle s'est engagée dans un combat contre cette substance neurotoxique utilisée en dentisterie. Le , elle a obtenu, avec l'appui de la gauche européenne et des socialistes, un vote du Parlement européen signifiant l'interdiction du mercure dans le domaine de la restauration dentaire[26]. Cette interdiction est prévue pour le mais elle peut encore être détricotée par le Conseil de l'UE et la Commission dans les négociations à venir avec le Parlement européen.

Depuis , Michèle Rivasi est aussi engagée dans un bras de fer avec l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) sur la question du glyphosate, la substance active du Round Up (l'herbicide le plus vendu au monde par Monsanto)[27]. Avec trois autres collègues écologistes au Parlement européen, elle demande l'accès à toutes les études de l'industrie qui ont conduit l'EFSA à conclure que le glyphosate n'est « probablement pas cancérogène[28] ». La procédure est ensuite lancée[29].

Soutenue par de nombreux députés européens, Michèle Rivasi s'oppose en à la réautorisation du glyphosate pour 15 ans proposée par la Commission. Sous la pression des écologistes et de plusieurs ONG, l'exécutif européen se contente en de réautoriser cette substance pour seulement 18 mois.

Avec ses collègues écologistes, dont Bart Staes, Michèle Rivasi invite même les autres eurodéputés à uriner dans un tube à essai pour montrer au grand public l'étendue de la contamination au glyphosate[30]. Alors que le Président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker a aussi été sollicité pour cette expérience, il n'a jamais donné suite[31].

Autres engagements[modifier | modifier le code]

En 2001, elle devient membre du comité de parrainage de la Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix[32].

Controverses[modifier | modifier le code]

En raison de ses nombreux engagements sur le terrain de la santé environnementale qui l'amènent à des défendre des positions qui font débat au sein de la communauté scientifique, Michèle Rivasi fait l'objet d'importantes critiques de la part d'une partie du corps médical. Le Journal international de médecine la qualifie de « reine de l'alterscience », ciblant notamment sa proximité avec les militants anti-vaccination et son combat contre l'électrosensibilité, et l'accusant de colporter des faits alternatifs comparables à ceux que l'on reproche aux proches de Donald Trump[33].

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Élue de la Drôme[modifier | modifier le code]

Michèle Rivasi est élue pour la première fois au conseil municipal de Félines-sur-Rimandoule en 1995.

Elle est députée de la Première circonscription de la Drôme de 1997 à 2002, battant de 34 voix Patrick Labaune (RPR). Bien qu'élue dans le cadre de l'accord avec Les Verts[34], elle rejoint le groupe socialiste ou elle siège comme apparentée PS. À l'Assemblée Nationale, elle est membre de[35] :

En 2001, le journal Objectif Rhône-Alpes publie une enquête affirmant que Michèle Rivasi aurait accepté entre 100 000 et 150 000 francs pour financer la campagne pour sa réélection, de la part d'un de leurs journalistes s'étant présenté comme l'émissaire d'un entrepreneur de BTP[36]. Michèle Rivasi porte plainte pour diffamation. Le journal est condamné en [37].

Elle rejoint le Parti socialiste en 2002 et le quitte en 2003. Elle rejoint les Verts en 2005[38].

En 2008, elle est candidate aux élections cantonales et municipales à Valence. Elle est élue conseillère générale du canton de Valence-1, devenant vice-présidente du Conseil Général de la Drôme et adjointe au maire de Valence, chargée des financements européens.

Lors des élections municipales de 2014, elle figure en deuxième position sur la liste écologiste « Réussir ensemble Valence » menée par l'adjoint sortant Patrick Royannez à Valence. Cette liste n'obtenant que 11 % des suffrages et deux sièges au conseil municipal, elle siège désormais dans l'opposition à partir du [39].

Députée européenne[modifier | modifier le code]

Lors des élections européennes de 2009, elle est élue députée européenne sur la liste Europe Écologie dans la circonscription Sud-Est. Elle abandonne son mandat de conseillère générale, mais conserve son mandat municipal[40]. Elle est réélue en 2014.

Primaire écologiste de 2016[modifier | modifier le code]

Dès le , elle se prononce en faveur d'une primaire écologiste en vue de l'élection présidentielle de 2017, et déclare souhaiter y être candidate[41].

Le , elle annonce sa candidature à la primaire écologiste en vue de l'élection présidentielle française de 2017[42],[43],[44],[45]. Elle obtient de justesse les parrainages du parlement d'EELV pour pouvoir se présenter[46],[47].

Dans le cadre de sa campagne, elle affiche le soutien de Pierre Rabhi[48], que dément le mouvement Colibris[49]. Suite à ce démenti elle affirme qu'il lui a dicté la phrase et que « parfois, il [Pierre Rabhi] perd un peu la mémoire »[50].

Lors du débat entre les quatre candidats sur LCP le , elle répond au journaliste Lilian Alemagna, concernant l'hypothèse d'alliances avec d'autres forces politiques : « Il y a plein d’autres sensibilités qui peuvent venir nous rejoindre par rapport à ce projet. Pourquoi aller toujours au niveau des socialistes ? (...) Il peut y avoir des gens de centre droit et de centre gauche qui peuvent se dire, bah tiens ce projet... (...) C’est un projet de société qu’on affiche, qui donne clairement les lignes, et si des gens veulent venir nous rejoindre, et bien qu’ils nous rejoignent. On va pas fermer les portes ! »[51]

Le , elle crée la surprise en se qualifiant pour le second tour avec 30,16 % des voix, derrière Yannick Jadot qui réunit 35,61 % des voix[52]. Elle échoue cependant au second tour (40,75% contre 54,25%)[53].

Élection présidentielle de 2017[modifier | modifier le code]

Le , Rivasi « invite les militants socialistes » à voter pour Benoît Hamon lors de la primaire citoyenne de 2017, se disant favorable à un rapprochement avec celui-ci en cas de victoire, ainsi qu'avec Jean-Luc Mélenchon[54]. Elle précise cependant qu'elle ne votera pas elle-même à la primaire[55].

Le , elle lance avec Noël Mamère un appel à une « candidature unique de la gauche progressiste et écologique », demandant à Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot de s'appuyer sur leurs « énormes convergences » pour créer un projet commun, et militant pour le tirage au sort d'un candidat unique[56].

Mandats[modifier | modifier le code]

Mandats en cours[modifier | modifier le code]

  • Députée européenne (depuis , réélue en )
  • Conseillère municipale de Valence (depuis )

Anciens mandats[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Suite à son élection au Parlement Européen en 2009, elle ne conserve que son mandat au conseil municipal de Valence.
  2. La source Actu Environnement indique, en 2004, que : «Michèle Rivasi quitte la direction de Greenpeace France», sans préciser qu'il s'agit d'un licenciement, et cette même source publie un extrait d'un communiqué publié par Greenpeace où Michèle Rivasi déclare : « Le poste ne correspond plus à mon attente. Sa dimension de gestion administrative et financière m'est apparue prendre trop de place par rapport à sa dimension stratégique. » L'extrait du communiqué de Greenpeace de 2004 publié par Actu Environnement ne mentionne donc pas, lui non plus, un licenciement.

Références[modifier | modifier le code]

  1. André Aschieri, Mon combat contre les empoisonneurs : comment les lobbies industriels s'organisent pour continuer à vendre leurs produits toxiques, La Découverte, Paris, 2010.
  2. Romain Scotto, « Michèle Rivasi: «Les laboratoires pharmaceutiques pratiquent un vrai racket» », sur 20minutes.fr,‎ (consulté le 1er février 2017).
  3. Raphaëlle Besse-Desmoulières, « Michèle Rivasi, la surprise de la primaire écolo », sur lemonde.fr,‎ (consulté le 1er février 2017).
  4. « Michèle Rivasi », sur www.ecolopedia.fr (consulté le 3 novembre 2016).
  5. « EELV. Rivasi contre Jadot : ils ont le même programme... mais ne s'aiment guère », L'Obs,‎ (lire en ligne).
  6. Anne-Charlotte Dusseault, « L'Inconnue qui pense devenir présidente écolo », Le JDD, .
  7. Curriculum vitae de Michèle Rivasi au parlement européen
  8. RMC, « Michèle Rivasi: « Tchernobyl, c'est le premier gros mensonge de l'Etat » », RMC,‎ (lire en ligne).
  9. « Michèle Rivasi, 44 ans, bête noire du lobby nucléaire, fait son entrée en politique, adoubée par le PS et les écologistes. Le rose et le vert », Libération.fr,‎ (lire en ligne).
  10. « Les survivants de Tchernobyl », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne).
  11. Yves Renaud, « GAZETTE NUCLEAIRE », sur gazettenucleaire.org (consulté le 28 octobre 2016).
  12. « L'énergie nucléaire en Europe : union ou confusion ? », sur www.senat.fr (consulté le 28 octobre 2016).
  13. « Cette guerre du Golfe qui a laissé des traces », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne).
  14. « Comptes rendus de la Délégation de l'Assemblée nationale pour l'Union européenne : Réunion du jeudi à 9 heures », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le 28 octobre 2016).
  15. Site officiel de Nuclear Transparency Watch
  16. « "OPERATION MAINS PROPRES SUR LA SANTE" », sur mains-propres-sur-la-sante.fr (consulté le 25 janvier 2017).
  17. Hubert Huertas et Michaël Hajdenberg, « Michèle Rivasi: opération mains propres sur la santé », sur mediapart.fr,‎ (consulté le 25 janvier 2017).
  18. Michèle Rivasi, « Les antidépresseurs, nouveau scandale sanitaire ? », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne).
  19. Fabien Vinckier et Jean-David Zeitoun, « Non, Mme Rivasi, il n’y a pas de scandale des antidépresseurs », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne).
  20. Elie Arié, « Antidépresseurs : quand une eurodéputée perd la boule », sur Marianne,‎ (consulté le 6 juin 2016).
  21. « Vaccins : les conflits d'intérêt tuent ! », sur le site web personnel de Michèle Rivasi,‎ .
  22. « Anti-vaccin, non. Vaccin-critique, oui. », sur Michèle Rivasi (consulté le 27 octobre 2016).
  23. Opération anti-vaccination au Parlement Européen : une députée européenne invite un ex-médecin radié pour fraude, Comminiqué de l'AFIS, .
  24. Vaccins : l'eurodéputée Michèle Rivasi "alimente les rumeurs complotistes" selon l'Afis, Conspiracy Watch, .
  25. « La France doit enfin renoncer au très toxique mercure dentaire », sur mediapart.fr,‎ (consulté le 25 janvier 2017).
  26. Michèle Rivasi, « Le Parlement européen vote l'interdiction du mercure en dentisterie », sur michele-rivasi.eu,‎ (consulté le 25 janvier 2017).
  27. « La saga du glyphosate, à la recherche des études secrètes », Le Huffington Post,‎ (lire en ligne).
  28. « Conclusion on the peer review of the pesticide risk assessment of the active substance glyphosate | European Food Safety Authority », sur www.efsa.europa.eu (consulté le 27 octobre 2016).
  29. (en) « Is glyphosate safe? We have the right to know! », sur asktheeu.org,‎ (consulté le 25 janvier 2017).
  30. José Bové, Karima Delli, Pascal Durand, Yannick Jadot, Eva Joly, Michèle Rivasi, « Uriner dans un tube et pisser dans un violon, histoire de la réautorisation du glyphosate en Europe », sur huffingtonpost.fr,‎ (consulté le 25 janvier 2017).
  31. Stéphane Foucart, « Du Roundup dans l’urine parlementaire »,‎ (consulté le 25 janvier 2017).
  32. « Comité de parrainage – Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix », sur education-nvp.org (consulté le 27 octobre 2016).
  33. Aurélie Haroche, « Michèle Rivasi, la reine de l’alterscience », sur jim.fr,‎ (consulté le 24 février 2017).
  34. « Législatives 97: La droite s'étripe sur la défaite, la gauche est épatée par ses succès », Libération, .
  35. « Mme Michèle Rivasi », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le 6 juin 2016).
  36. « Une députée piégée par des journalistes. », Libération.fr,‎ (lire en ligne).
  37. Par le 13/03/2001 à 0h00, « Le mensuel « Objectif Rhône-Alpes » condamné pour diffamation », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne).
  38. « Michèle Rivasi », sur www.ecolopedia.fr (consulté le 26 octobre 2016).
  39. « Valence: Les conseillers de l'opposition », sur www.valence.fr (consulté le 22 octobre 2016).
  40. Michèle Rivasi veut être la surprise de la primaire écolo, Le Monde, .
  41. « Des primaires du « peuple de l’écologie » aux primaires de l’espoir pour une autre République », sur Michèle Rivasi (consulté le 22 octobre 2016).
  42. « La députée européenne Michèle Rivasi candidate à la primaire écologiste », sur liberation.fr,‎ (consulté le 1er août 2016).
  43. Marc de Boni, « Michèle Rivasi (EELV) se lance dans la primaire écologiste en vue de 2017 », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne).
  44. « Primaire écologiste: les eurodéputés Michèle Rivasi et Yannick Jadot candidats », sur lexpress.fr,‎ (consulté le 1er août 2016).
  45. « Primaire EELV : l'eurodéputée Michèle Rivasi officialise sa candidature », sur lelab.europe1.fr,‎ (consulté le 1er août 2016).
  46. « Primaire EELV : Michèle Rivasi candidate officielle », Europe 1,‎ (lire en ligne).
  47. « Primaire EE-LV : Michèle Rivasi, la course-poursuite », Libération.fr,‎ (lire en ligne).
  48. « Michèle Rivasi on Twitter », Twitter,‎ (lire en ligne).
  49. « EELV : Michèle Rivasi s'arroge un peu vite le soutien de Pierre Rabhi », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  50. Raphaëlle Besse Desmoulières, « Primaire EELV : Jadot et Rivasi, deux finalistes au profil similaire », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne).
  51. « EVENEMENTS 2016 2017 - DEBAT PRIMAIRE DES VERTS », sur LCP Assemblée nationale (consulté le 22 octobre 2016).
  52. « Primaire écologiste: Duflot éliminée, Jadot et Rivasi au deuxième tour », sur lefigaro.fr,‎ (consulté le 9 octobre 2016).
  53. (fr) « Présidentielle 2017 : le député européen Yannick Jadot sera le candidat d'Europe Ecologie-Les Verts », Franceinfo,‎ (lire en ligne).
  54. « Michèle Rivasi : "Si Hamon gagne la primaire, il faudra un programme commun avec Hamon, Mélenchon et Jadot" », sur franceinter.fr,‎ (consulté le 25 janvier 2017).
  55. « Primaire: Rivasi "favorable" à un rapprochement avec Hamon en cas de victoire », sur leparisien.fr,‎ .
  56. Michèle Rivasi et Noël Mamère, « Appel à une candidature unique de la gauche progressiste et écologique », sur lemonde.fr,‎ (consulté le 31 janvier 2017).

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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